logique

avec une longueur de toit pareille, c'est quand même un comble de manquer d'eau l'été !

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puisque le vrai potager va être en contrebas de la maison

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alors il faut amener les eaux de pluies jusque là !
des tuyaux percés courent tout autour de la maison, ils collectent et drainent sur une même sortie les eaux de pluie.

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une (petite) grande cuillère est intervenue pour creuser et enterrer tuyaux (posés sur sable) et cuve ciment de 4000 l

 

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c'est un peu verdun aprés ça  pour le plus grand plaisir des poules qui n'en finissent pas de sortir de la pitance de la terre à nu ... d'autant que le monsieur de la grande cuillère a aussi retiré les vieilles souches oubliées de la tempête de 99 ....

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enfin, le ciel se couvre, les grues passent encore à plein ciel, le vacarme de leur grou-grou est incessant, la pluie arrive et va remplir ma cuve !

fin d'hiver ?

on dirait que les giboulées sont déjà là, aprés tout, mars n'est que dans deux semaines ! les grues remontent à plein ciel
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déjà la lumière n'est plus la même, il ne fait pas encore tout à fait nuit quand je rentre du boulot, le printemps est pour bientôt ? j'ai envie d'y croire, d'oublier l'hiver trop long de l'année passée.
nul besoin de mettre le nez au sol pour tenter d'apercevoir les premières fleurettes :
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les crocus blancs se dressent vaillamment au pied des ceps de vigne,
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le forsytia et le genêt rivalisent de brillance,
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les perce-neige passent, les primevères arrivent et une pensée ose

elles sont à l'heure et moi aussi ! une fois n'est pas coutume ...
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il est loin encore le moment où le jardin devra être dans son plus bel état pour plaire aux visiteurs mais déjà, on toc au portillon ... mesdames, soyez indulgentes, la jardinière  pare au plus urgent et laisse les tas de branches s'ammonceler (un peu) partout ! n'empèche, n'en poire et n'en pomme, sont tous taillés
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youpi tralala

fin d'hiver ?

on dirait que les giboulées sont déjà là, aprés tout, mars n'est que dans deux semaines ! les grues remontent à plein ciel
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déjà la lumière n'est plus la même, il ne fait pas encore tout à fait nuit quand je rentre du boulot, le printemps est pour bientôt ? j'ai envie d'y croire, d'oublier l'hiver trop long de l'année passée.
nul besoin de mettre le nez au sol pour tenter d'apercevoir les premières fleurettes :
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les crocus blancs se dressent vaillamment au pied des ceps de vigne,
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le forsytia et le genêt rivalisent de brillance,
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les perce-neige passent, les primevères arrivent et une pensée ose

elles sont à l'heure et moi aussi ! une fois n'est pas coutume ...
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il est loin encore le moment où le jardin devra être dans son plus bel état pour plaire aux visiteurs mais déjà, on toc au portillon ... mesdames, soyez indulgentes, la jardinière  pare au plus urgent et laisse les tas de branches s'ammonceler (un peu) partout ! n'empèche, n'en poire et n'en pomme, sont tous taillés
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youpi tralala

le restaurant reste ouvert

j'ai sauvé une mésange charbonnière aujourd'hui,
elle était sans doute venue au resto et une peur subite lui a fait prendre les pattes dans les ailes ?
doucement attrapée, démélée, elle est restée trois minutes avec les poussins (toujours dans la salle de bain !) avant de reprendre son vol et revenir à tire-d'ailes au resto des z'oiseaux
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bien longtemps que les boules graisseuses ont disparu, en ce moment les cacahuètes font la gourmandise des mesanges charbonnières et mésanges bleues à mon plus grand plaisir. je reste le nez en l'air à regarder leur ballet fait d'allées et venues, de politesses et de disputes, chez les mésanges, la hierarchie semble être une valeur respectée.
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la cacahuète se mérite : il faut aller la chercher dans la coque, il en tombe autant à côté que dans le gosier de ces demoiselles et demoiseaux
alors d'autre y trouve leur compte ! sans compter les graines que mesdemoiselles bonnie 'n claudie laissent de côté !
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pinson des arbres

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monsieur merle

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bruant zizi (femelle ? et male)

fatal semis

les fèves peuvent se semer à l'automne comme "l'aquadulce à trés longue cosse", mais à l'automne, avant même que j'ai pu finir de nettoyer les espaces à potager, il pleuvait : "je semerai donc les fèves en février"
ces légumineuses ont la propriété de fixer l'azote le l'air sur les nodosité de leurs racines, aussi il ne faut pas les semer dans une terre qui a été fumé  (à ce propos, le tas de m... est entièrement étalé dans le grand potager, yes, merci les copains !)
un engrais riche en potasse ne leur fera pas de mal : un peu de cendres avant la pluie devrait faire l'affaire.
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il faut un sol profond, frais, bien ensoleillé : l'ancienne butte à tomate préparée pour accueillir de nouvelles griffes d'asperges est prête ! donc parfaite, un an de plus pour les asperges ne sera pas de trop pour finir de détruire le chiendent qui s'est bien étalé là !
la théorie : semer une à une à 5 cm de profondeur, distante de 15 cm en lignes espacées de 40 cm
la réalité : trois lignes distante de 15 cm, une profondeur aléatoire et à parfois moins de 3 cm les unes des autres ... faut prévoir les pertes !
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il faut compter quinze jours avant la levée ...  à suivre
l'autre jour, le laitier :
" - t'as mis ton ail ?
- non !
- alors attend encore un peu, quatre jours aprés la nouvelle lune"
c'était aujourd'hui ! c'est fait.
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ail violet, oignon rouge, oignon jaune entre les rangs de fèves ... pas bonne idée !
"jamais d'union entre l'ail et les légumineuses, ces dernières produisent de l'azote, fatal à sa croissance"
zut, c'est ce que m'expliquait la voisine de la voisine : ça chauffe l'ail
toute façon, c'est pour le manger jeune aillet !
même remarques pour l'oignon ... re-zut

fatal semis

les fèves peuvent se semer à l'automne comme "l'aquadulce à trés longue cosse", mais à l'automne, avant même que j'ai pu finir de nettoyer les espaces à potager, il pleuvait : "je semerai donc les fèves en février"
ces légumineuses ont la propriété de fixer l'azote le l'air sur les nodosité de leurs racines, aussi il ne faut pas les semer dans une terre qui a été fumé  (à ce propos, le tas de m... est entièrement étalé dans le grand potager, yes, merci les copains !)
un engrais riche en potasse ne leur fera pas de mal : un peu de cendres avant la pluie devrait faire l'affaire.
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il faut un sol profond, frais, bien ensoleillé : l'ancienne butte à tomate préparée pour accueillir de nouvelles griffes d'asperges est prête ! donc parfaite, un an de plus pour les asperges ne sera pas de trop pour finir de détruire le chiendent qui s'est bien étalé là !
la théorie : semer une à une à 5 cm de profondeur, distante de 15 cm en lignes espacées de 40 cm
la réalité : trois lignes distante de 15 cm, une profondeur aléatoire et à parfois moins de 3 cm les unes des autres ... faut prévoir les pertes !
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il faut compter quinze jours avant la levée ...  à suivre
l'autre jour, le laitier :
" - t'as mis ton ail ?
- non !
- alors attend encore un peu, quatre jours aprés la nouvelle lune"
c'était aujourd'hui ! c'est fait.
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ail violet, oignon rouge, oignon jaune entre les rangs de fèves ... pas bonne idée !
"jamais d'union entre l'ail et les légumineuses, ces dernières produisent de l'azote, fatal à sa croissance"
zut, c'est ce que m'expliquait la voisine de la voisine : ça chauffe l'ail
toute façon, c'est pour le manger jeune aillet !
même remarques pour l'oignon ... re-zut

le jardin vu de prés ou de loin #14

Le médium était concentré
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L'assistance était convulsée
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La table soudain, a remué
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Et l'esprit frappeur a frappé
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{Refrain}

C'n'est qu'le p'tit bout d'la queue du chat
Qui vous électrise

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C'n'est qu'le p'tit bout d'la queue du chat
Qui a fait c'bruit-là

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Non l'esprit n'est pas encore là
Unissons nos fluides
Et recommençons nos ébats
Que le chat gâcha.

Puis un souffle étrange a passé
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Une ombre au mur s'est profilée

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L'assistance s'est mise à trembler

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Mais le médium a déclaré :

{Au refrain}
C'n'est qu'le p'tit bout d'la queue du chat
Qui vous électrise
....

Alors en rond on se remit
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Et puis on attendit l'esprit
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Quand une dame poussa un cri
En disant : "Je l'sens c'est lui !"

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C'n'est qu'le p'tit bout d'la queue du chat
Qui vous électrise
C'n'est qu'le p'tit bout d'la queue du chat
Que pensiez-vous là ?

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L'esprit ne vous aurait pas fait ça
Vous n'avez pas d'fluide
Le médium alors se fâcha
Et chassa le chat

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Une voix dit : "Miaou me voilà"
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Quelle drôle de surprise
Car l'esprit s'était caché là

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Dans la queue du... dans la queue du... dans la queue du chat.
chanté par les frères jacques